ECRIRE PAR DESSUS TOUT.

Poésie, Musique, Peinture, Art

posté le 19-02-2016 à 19:51:17

Fermeture définitive

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Alain Girard


 


 
 
posté le 16-02-2016 à 03:10:39

de Patricia Ma P'tite Soeur




de Patricia Dupont, Ma P'tite Soeur....






quand Elle chante ceci
j'en ai la chaire de poule...

alors

comment l'oublietai-je?


 
 


 
 
 


Commentaires

 

1. Patricia D  le 16-02-2016 à 03:44:10

Merci pour cette attention Alain
Bisous

2. Patricia D  le 16-02-2016 à 16:15:56

Il faudra que je l'a refasse
Bisous

3. PatrickD  le 16-02-2016 à 17:34:59

Une très jolie chanson , qui fait plaisir à écouter , merci Alain de ce partage , je vous souhaite à tout deux une excellente soirée

4. alain_girard  le 18-02-2016 à 00:09:31  (site)

Merci!

 
 
 
posté le 16-02-2016 à 00:31:04

Quand Jacqueline peint!



Quand Jacqueline peint!

J'écris




Peinture de Jacqueline Labeyrie

 

 

 

Quand le soleil s'en va couchant


Un vent léger couche les joncs
Sur la rive des jours trop longs
C'est comme un désert incendié
Cette plage nue sans faux pas
Que la solitude a dédié
Sur l'horizon de son miroir
Où j'ai peins à n'en plus rien croire
Et ce qui fut et qui n'est pas !

Le sable, en des parfums étranges,
Égraine le rire des anges
Juste à côté d'avoir pour vie
L'écueil et le beau de l'amour
Ces choses qui me font envie
Quand le soleil s'en va couchant
Sur la plage où j'entends le chant
De ta voix qui disait : « toujours ! »

Loin, l'horizon violet se glace
En des rosés... mais je suis lasse
Et dans le profond de l'extrême
Où tout évoque encore en moi
Combien, combien, combien « je t'aime ! »
En ces nuages d'horizon
Et la pluie morte des saisons
Je me souviens de nos émois !

Dans les violets qui touchent l'âme

Où je ne suis rien qu'une femme
Et le cœur éclaté pourtant
J'écoute le vent sur les joncs
Mais -ici-bas- s'enfuit le temps
Comme à mon tableau la tendresse
Aux souvenirs de ma jeunesse
Ainsi tout est si long, si long !

Alain Girard

Le 12 02 2016

Copyright.Tous Droits Réservés.

 

 

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Commentaires

 

1. Patricia D  le 16-02-2016 à 08:23:49

Eh oui quand Jacqueline peint c'est tout un roman

2. JacquelineL  le 16-02-2016 à 10:20:02  (site)

Bonjour Alain ,
Je te remercie encore une fois pour ce très beau poème que t'a inspiré mon tableau .
Je suis toujours impressionnée par la facilité avec laquelle tu écris !
Bonne journée
Bisous

3. alain_girard  le 18-02-2016 à 00:10:24  (site)

Merci.

 
 
 
posté le 15-02-2016 à 23:27:26

Sa Montagne.

Isabelle Aubret

pour

Jean Ferrat
 





....




 


 
 
posté le 13-02-2016 à 03:15:02

Pour Jacqueline




Pour Jacqueline...

MERCI...





Alain
 


 
 
posté le 12-02-2016 à 17:42:27

Une voix, un piano, des mots!

 



Une voix toute en douceur,
Une interprétation pleine de sensibilité

Celles de:

JACQUELINE LABEYRIE

http://jacquelinelabeyrie33.centerblog.net/

 

 

 

 

 avec cette magnifique vidéo
(création Jacqueline Labeyrie) 

merci infiniment Jacqueline...

sur mon texte:
Il allait...




 

 

Il allait.

Octosyllabes


Il avait dans les yeux un rire
Avec un rien de pauvreté
Je ne connaissais ses soupirs
Ni même le lieu de son lit
Ni les choses que l'on oublie
Lorsque la vie se défigure
A des choses sans envergure
Où l'on aurait cru des beautés !

Il allait son chemin morose
Où les fleurs se prêtent au jour
Il allait en en si peu de chose
Extravagantes, méconnues
Comme à l'horizon, par les nues,
Évoquer la brume des anges
Comme d'un vol une mésange
Invente les cris de l'amour !

Il allait... Mais je ne sus pas
Comprendre ses rêves, sa vie !
L'aube dessine ainsi des pas
Et la nuit même les parfume ;
J'écris, j'invente et puis je fume
Et dans l'obscur de la tendresse
Où chaque chose ainsi nous blesse
Et lui-même nu sans envie

Je sais qu'il a reçu de moi
Et qu'il écoute encor mes mots
Je sais, je sais tous ses émois
Je sais lui tendre encor la main
Aujourd'hui que fusse demain
Et sous l'horizon parfumé
Je comprends bien sa peur d'aimer...
Il avait, en ses yeux, mes maux !

Alain Girard

Le 10 02 2016

 


Copyright. Tous Droits Réservés

 

 

 


Commentaires

 

1. Bellatrix  le 12-02-2016 à 17:53:21  (site)

Je découvre, grâce à vous, Jacqueline Labeyrie.
Quant à vos mots..ils sont toujours aussi beaux.

2. JacquelineL  le 12-02-2016 à 18:08:59  (site)

Je suis très heureuse que ma lecture de ton beau texte te plaise .
Merci à toi pour tous ces mots gentils !
Bisous

3. luciole777  le 12-02-2016 à 19:54:58  (site)

C'est beau.Je ne connaissais pas l'interprète. Les paroles me font penser à *L'Etranger*de Léonard Cohen.Merci.

4. Patricia D  le 12-02-2016 à 21:07:55

Un très beau récit sur des mots superbes
Bravo à tous les deux
Bisous

5. alain_girard  le 12-02-2016 à 21:09:41  (site)

Avant tout un grand merci à Jacqueline qui a tout fait, avec sa très jolie douceur et ses grands talents!

n'hésitez pas à aller la découvrir sur son blog:

http://jacquelinelabeyrie33.centerblog.net/

Merci Jacqueline

Bisous
Alain

6. alain_girard  le 12-02-2016 à 21:11:32  (site)

merci Luciole,

votre commentaire me touche d'autant plus
que Léonard Cohen est Mon Frère!

Amitiés

Alain

7. alain_girard  le 12-02-2016 à 21:14:05  (site)

Merci Bellatrix,

j'écris avec ma vie, c'est aussi simple que ça!

Merci de votre fidélité!

Amitiés

Alain

 
 
 
posté le 11-02-2016 à 00:53:03

COPYRIGHT

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posté le 11-02-2016 à 00:29:46

C'est qu'il n'existe pas


 
 
 
 
 C'est qu'il n'existe pas



© Copyright 2002 ~ 2016 Tous droits réservés par Alain Girard



 


Si j'ai, tous les mots, mis à terre
En cinquante ans de poésie
Comme l'on m'a shooté parterre
Autant qu'on m'a dit de me taire
Et que vous l'avez bien choisi,

C'est qu'il n'existe pas
En vos consciences blêmes
D'un regard le faux pas
Dont vous dites : « Je T'aime ! »

Si, sur la route bleue des pleurs
Les sujets de vos blogs sont leurres
Et que pour Poésie vous êtes
Le nullement de rien, son âme
Et l'homme en cette vie la femme
Avec ce petit rien du tout
Dont vous vous faites n'importe où

L'écho démesuré, l'outrance
Et qui sent le vieux verbe rance
Il advient des messages gris
Qui ne prononcent aucun cri
A l'endroit des conjugaisons
Dont votre lieu est : la saison

Là où vous posez un regard
Avec le semblant d'être lu
Car c'est cela qui vous a plu
Sur le Blog de votre passion
Que l'on quitte sans un égard
En son semblant, le virtu/el
Bourgeois, bourgeois qu'elle est cruelle
Votre émotion !

Veillez, veillez sur vous
Veillez sur l'Être Humain
Et qui tombe à genoux
De vos teigneuses mains

Puisqu'il n'est – ici bas – l'amour
Ni son lieu dit, ni sa souffrance
Et que chacun pleure toujours
L'adversité de sa passion
Lorsqu'un mime en révolution
Dessine, d'un geste la France

Lorsque, de vos petits parcours
Ni même dit, ni même clos,
Votre monde n'a plus d'écho
Votre monde tout doucement
Se meurt où s'éteint le moment
Dont naîtraient la Paix et l'Amour !

Comme il n'existe pas
En vos consciences blêmes
D'un regard le faux pas
Dont vous dites : « Je T'aime ! »


Alain Girard

Le 11 02 2016

COPYRIGHT. TOUS DROITS . RESERVES

 

 


 
 
 

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